Le modèle de membranes polymérisées autoévitantes est une généralisation du modèle d’Edwards des polymères, qui est une théorie des champs multilocale renormalisable. Les grands ordres de la théorie des perturbations sont analysables par des méthodes d’instantons. Par rapport aux théories des champs locales, ces calculs d’instantons présentent des défis nouveaux et intéressants: problème de la renormalisation d’une théorie non-locale dans un champ de fond inhomogène, mélange de divergences IR/UV à D=2 et construction d’un développement en grande dimension d’espace.
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